L’État de Washington pourrait permettre le « compostage humain » dès 2020
Le « compostage » du corps humain, une solution de rechange funéraire à l’enterrement et à la crémation, pourrait voir le jour au printemps 2020 dans l’État de Washington, aux États-Unis.
L’Assemblée législative de cet État frontalier de la Colombie-Britannique a adopté un projet de loi permettant le processus de « réduction naturelle des matières organiques », qui doit encore être sanctionné par le gouverneur, Jay Inslee.
Un porte-parole de son bureau a déjà dit que le projet de loi consistait en une mesure sérieuse pour atténuer l’empreinte écologique des humains.
Si elle est signée par le gouverneur, la loi pourrait entrer en vigueur en mai 2020.
Le compostage du corps humain est un procédé dont l’impact sur l’environnement est minime, moins important en tout cas qu’un enterrement ou une crémation standards.
Le « compostage » du corps humain, une solution de rechange funéraire à l’enterrement et à la crémation, pourrait voir le jour au printemps 2020 dans l’État de Washington, aux États-Unis.
L’Assemblée législative de cet État frontalier de la Colombie-Britannique a adopté un projet de loi permettant le processus de « réduction naturelle des matières organiques », qui doit encore être sanctionné par le gouverneur, Jay Inslee.
Un porte-parole de son bureau a déjà dit que le projet de loi consistait en une mesure sérieuse pour atténuer l’empreinte écologique des humains.
Si elle est signée par le gouverneur, la loi pourrait entrer en vigueur en mai 2020.
Le compostage du corps humain est un procédé dont l’impact sur l’environnement est minime, moins important en tout cas qu’un enterrement ou une crémation standards.
Julie Landry a rencontré des Vancouvérois qui ont des points de vue opposés sur cette pratique.
« En transformant les restes humains en terre, on réduit le gaspillage, on évite de polluer les cours d’eau avec des liquides servant à l’embaumement et on prévient l’émission de CO2 par la crémation, et la production de cercueils et de tombes », mentionne le site web de l’entreprise Recompose, qui a mis au point le procédé.